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TRAITE CONTRACTANT DE LA BANQUE DROITE.

Volume I: Prêts et garanties en droit bancaire. Droit national et de l’Union européenne.(Éditorial Thomson Reuters Aranzadi, édition de mars 2017).

Le Traité Contractuel de Droit Bancaire est un ouvrage où tous les problèmes en Espagne de la prétendue faute professionnelle bancaire seront détaillés, définissant chacun des produits toxiques et complexes commercialisés par les établissements de crédit sans respecter les exigences légales d’information et de conseil; publier de cette manière ce qui est considéré comme le travail le plus étendu à ce jour du droit financier, hypothécaire, des banques à la consommation et du droit de l’Union européenne; raison qui a conduit les Tribunaux et Magistrats de tout le pays à déclarer la nullité de l’embauche et de la protection des citoyens et des entreprises à la lumière des directives de l’Union européenne.

PARTICIPATIONS PRÉFÉRÉES, NATURE, RÉGLEMENTATION ET DÉFENSE

(Ed. Aranzadi Thomson Reuters, septembre 2012)

Dans cet ouvrage Juan Ignacio Navas, parmi d’autres auteurs également détenteurs et collaborateurs, une analyse exhaustive est faite de la commercialisation en masse par les établissements de crédit des actions dites privilégiées: un produit destiné à refinancer les banques du littoral des économies des petits investisseurs consommateurs qui n’avaient pas, dans la plupart des cas, le profil et l’aversion au risque appropriés pour l’embaucher. La conséquence de cela, au niveau judiciaire, a été la déclaration de nullité des contrats, avec restitution réciproque des sommes investies.
Dans ce travail, une analyse est faite à la fois de la nature des actions privilégiées et des litiges qu’elle a entraînés au cours des dernières années.

HYPOTHÈQUE MULTIDIVISE

« Comment obtenir la nullité partielle du prêt. » (Ed. Aranzadi Thomson Reuters, mars 2015)

Les prêts d’options multidevises ont été le modèle de prêt négocié en masse parmi les consommateurs de détail, entre 2006 et 2008, profitant des taux d’intérêt et des taux de change des entités de devises telles que le yen japonais ou le franc suisse par rapport à l’euro, vendant le le prêt comme «grande alternative économique» le prêt traditionnel en euros, en omettant tout devoir d’information sur les risques élevés et la complexité d’avoir un prêt multi-devises.
La conséquence au niveau du contexte socio-économique a conduit la Cour suprême elle-même, par un arrêt du 30 juin 2015, à affirmer que nous sommes confrontés à un «dérivé financier», en apportant un actif sous-jacent comme implicite et implicite comme le taux de change dans Formulaire de devise.
Cette théorie était celle maintenue par Juan Ignacio Navas Marqués, qui déjà en mars 2015, avant la publication en juin de cette fameuse décision, affirmait fermement que nous ne sommes pas confrontés à un prêt «normal» mais plutôt à un dérivé financier, qui est de J’applique les exigences de la loi sur le marché des valeurs mobilières, avec toutes les conséquences qui en découlent.